La situation de ce mouillage, à l'embouchure de la rivière Barahamanay sur la Grande Terre - à l'Est de la très belle Iranja - fait que l'on y arrive toujours en fin d'après midi.
En plus d'un mouillage fabuleusement protégé, on accède au fond de cette embouchure à une magnifique mangrove peuplée de centaines d'oiseaux que l'on rejoint en annexe car il n'y a rapidement pas de fond. Notre tirant d'eau de 2 mètres n'est pas un problème parce que suivant la marée, il n'y a quelquefois que 60 cm d'eau au fond de l'embouchure et l'accès en catamaran n'est pas possible non plus. C'est une très belle balade d'un quart d'heure en annexe et c'est en retournant à bord que l'on profite de ce magnifique coucher de soleil.
Devant un tel paysage on ne peut que souhaiter y rester et on peut, bien entendu passer la journée du lendemain mais il faut savoir que vous ne partirez alors que le jour suivant parce que si on rate la marée du matin, celle du soir ne permet d'arriver nulle pas à portée de jour (nuit noire à 18h15 LT) et il n'y a pas d'autre mouillage confortable avant la Baie des Russes. Nosy Range n'offre pas d'abri pour la nuit.
Petite envie de vous baigner dans ce coucher de soleil resplendissant ? Hum ! qui dit rivière dit crocodile, non ? A cette question posée à notre skipper, il nous à répondu avec le plus grand sérieux : ici c'est pas dangereux, il n'y a pas de crocodiles parce qu'ils ont trop peur des requins !
Donc, vous l'aurez compris, avec Abas, on est soutenus moralement en toutes circonstances par quelqu'un qui non seulement connait la région comme sa poche mais en plus ne manque pas d'humour !
Bon, généralement, on ne se baigne pas la nuit car c'est le temps des prédateurs dont on suit la chasse autour du bateau au hasard des "ploufs" qu'on entends et qui sont les bonds des poissons hors de l'eau à la tombée du jour autour du bateau.
Et ici, on ne se baigne pas non plus de jour, sauf tout au bord de la plage, c'est pour cela que l'équipage vous proposera de repartir dès tôt le matin.
En plus d'un mouillage fabuleusement protégé, on accède au fond de cette embouchure à une magnifique mangrove peuplée de centaines d'oiseaux que l'on rejoint en annexe car il n'y a rapidement pas de fond. Notre tirant d'eau de 2 mètres n'est pas un problème parce que suivant la marée, il n'y a quelquefois que 60 cm d'eau au fond de l'embouchure et l'accès en catamaran n'est pas possible non plus. C'est une très belle balade d'un quart d'heure en annexe et c'est en retournant à bord que l'on profite de ce magnifique coucher de soleil.
Devant un tel paysage on ne peut que souhaiter y rester et on peut, bien entendu passer la journée du lendemain mais il faut savoir que vous ne partirez alors que le jour suivant parce que si on rate la marée du matin, celle du soir ne permet d'arriver nulle pas à portée de jour (nuit noire à 18h15 LT) et il n'y a pas d'autre mouillage confortable avant la Baie des Russes. Nosy Range n'offre pas d'abri pour la nuit.
Petite envie de vous baigner dans ce coucher de soleil resplendissant ? Hum ! qui dit rivière dit crocodile, non ? A cette question posée à notre skipper, il nous à répondu avec le plus grand sérieux : ici c'est pas dangereux, il n'y a pas de crocodiles parce qu'ils ont trop peur des requins !
Donc, vous l'aurez compris, avec Abas, on est soutenus moralement en toutes circonstances par quelqu'un qui non seulement connait la région comme sa poche mais en plus ne manque pas d'humour !
Bon, généralement, on ne se baigne pas la nuit car c'est le temps des prédateurs dont on suit la chasse autour du bateau au hasard des "ploufs" qu'on entends et qui sont les bonds des poissons hors de l'eau à la tombée du jour autour du bateau.
Et ici, on ne se baigne pas non plus de jour, sauf tout au bord de la plage, c'est pour cela que l'équipage vous proposera de repartir dès tôt le matin.
Baramahamamay, c'est aussi un village si isolé que le salaire des maîtres d'école arrive à bord des bateaux de location qui se rendent là-bas. Je me suis vu attribuer cette charge et cet honneur et j'ai beaucoup apprécié la rencontre avec l'équipe pédagogique sur place composée d'un maître et une maîtresse d'école. Nous avons ainsi visité le village et l'école où la magie de mon appareil numérique qui photographie en nuit noire a suscité un très bel enthousiasme auprès des plus petits !
Barahamamay est certes un très joli village de pêcheurs de carte postale pour nous visiteurs qui ne faisons que passer mais il faut se rappeler qu'il n'y a pas d'électricité, ni de médecin, ni de pharmacien et que les malgaches vivent - même si c'est avec bonne humeur (ou fatalisme) - dans le plus grand dénuement. Quand on y va, on leur porte surtout des livres de lecture (en français) pour les plus jeunes, des crayons de couleur, des stylos et des cahiers.
Forcément, vu l'enthousiasme, on a promis de revenir. A noter que les malgaches sont des gens très accueillants, sympathiques et confiants alors essayer de ne promettre que ce que vous pourrez raisonnablement tenir car ils vous attendront longtemps si vous promettez de revenir...
J'ai la chance d'aller souvent faire du bateau à Madagascar et à chaque nouveau passage sur Nosy Be, je ramène des tirages papiers des photos que j'ai faites à mon précédent passage. J'amènerai celles-ci à Barahamamay quand j'y retournerai car dans des endroits si reculés et privés de tout, une photo papier est un cadeau inestimable, n'hésitez pas à faire pareil. Si vous ne prévoyez pas d'y retourner, nous serons heureux de faire passer les photos que vous aurez promises. Contactez-nous et on vous donnera notre adresse postale.
